J’étais en train d’écrire de ma journée de hier, passée à la maison avec ma petite chérie et mademoiselle varicelle. Du plaisir inhabituel d’être ensemble un jour de la semaine, tandis que les autres sont à l’école ou au travail. Ne pas devoir courir, pour une fois, pouvoir prendre le temps de se raconter des choses, se tenir la main, rigoler pour des bêtises. Lui fabriquer un petit coussin cœur, selon ses indications.
Et puis. Et puis la nouvelle que je redoutais est arrivée dans ma boîte mail, me laissant là, le coeur plein de tristesse, devant l’incompréhensible arrivé. Devant cette douleur que je peux si bien imaginer. Et l’Amour qu’il faut.
J’ai effacé tout ce que j’avais écrit. Tous ces mots désormais si futiles. Pour ne garder que ça: que ces moments-là, et ce petit coeur en tissu de rien du tout, ils comptent d’autant plus maintenant, grâce à eux.
J’aime la premiére photo.
merci!
c’est mon grand garçon qui a fait l’oiseau en papier; quand je l’ai vu, je me suis dit que ça faisait vraiment une belle image..